Il se tient depuis lundi 29 août à Kisangani, le congrès de l’UNIIC, Union nationale des infirmiers et infirmières du Congo section de la province de la Tshopo.

Ses assises des 4 jours vont se clôturer jeudi 1 septembre 2022, sous le thème « l’infirmier et le syndicalisme, quelle appréhension ».

Ce congrès qui se tient à l’intention de tous les infirmiers et infirmières de la Tshopo affiliés à l’UNIIC a pour but, de lutter pour les droits et responsabilités de la corporation.

Dans son mot de circonstance, Jean-Marie Musambayi, Secrétaire Provincial exécutif de l’UNIIC a mis un accent particulier sur les exigences de la lutte syndicale des adhérents à tous les niveaux.
A l’en croire, les infirmiers doivent avoir une connaissance adéquate non seulement de leurs milieux et profession mais aussi de leurs droits et responsabilités.

« Tous les hommes sont nés libres et égaux en dignité et en droits. Ils doivent avoir accès à tous les droits, liberté et la sécurité. Nul ne sera tenue en esclavage ou en servitude de la manière où les professionnelles travaillent sans prime ou salaire en oubliant que la convention du travail dans son article 111 stipule qu’un salaire égal pour un travail de valeur égal, a-t-il conclu.

De son côté, le directeur de cabinet du ministre provinciale de la santé Tshopo Joseph TOKOLOMBI qui a lancé officiellement l’activité ce congrès, demande aux participants de se souder les coudes dans la revendication de leurs droits.

L’union nationale des infirmiers et infirmières transformée en ordre des infirmiers, regorge un grand nombre des praticiens des soins en son sein.

Eliezer Liande

Laisser une réponse