…Avec mon père le voyageur, j’ai appris à regarder les hommes et la nature afin de comprendre la nature des hommes.

Monsieur le politicien au gros ventre, ma conscience n’est pas à vendre. Comment puis-je espéré un changement si pour voter, je prends ton argent ? Accepter tes offrandes pendant les élections, c’est contribuer à instaurer un pouvoir de corruption. Il parait que pour un gouvernant corrupteur, un peuple corrompu n’a point de revendication. Il assiste et assume sans hausser de ton.

Monsieur le politicien au gros ventre, je ne changerai pas mon vote contre une donation et confisqué l’avenir de ma nation !

Monsieur le politicien au gros ventre, ma conscience n’est pas à vendre. A la tête de ce pays, j’ose espérer des hommes et des femmes qui connaissent le prix du pain, pas d’un corrupteur qui pendant les élections me tend du pain. Je vais donner ma voix à ceux qui n’ignorent pas ma réalité et non à des hommes qui seulement pendant les campagnes s’intéressent à nos localités. Je veux des leaders, des visionnaires, pas ceux qui démarchent ma conscience. Je veux un homme ou une femme qui a une stratégie, des valeurs, des idées, une équipe, un programme, un projet de société et non un homme qui n’a que sa poche pour acheter nos voix. Je veux des personnes élus démocratiquement et non des hommes qui font la politique du ventre et l’achat de conscience.

Monsieur le politicien au gros ventre, l’argent aboi, la conscience passe.

Monsieur le politicien au gros ventre, ma conscience n’est pas à vendre. Faire de la politique avec de l’argent, c’est freiner ce pays et son développement.

Monsieur le politicien au gros ventre, moi, ma conscience n’est pas à vendre. Tu feras un bon commerçant avec ton argent. Avec ton argent, un mauvais politicien !

 

 

 

 

 

Texte de JHONEL dans SOS CIVISME

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