Le vice-premier ministre et ministre de l’environnement Eve Bazaiba a eu des échanges fructueux mercredi 28 avril avec l’ambassadeur de la Suède en République démocratique du Congo, Henric Rasbrant.

Sur son compte tweeter, le nouveau ministre de l’environnement parle des entretiens francs avec ce diplomate suédois.
« J’ai eu ce mercredi des entretiens francs avec Mr Henric Rasbrant, l’ambassadeur de la Suède en République démocratique du Congo sur des questions du climat, de l’environnement, du développement durable et de coopération entre nos deux pays. J’ai partagé avec le diplomate suédois ma vision sur ces questions cruciales », peut-on lire sur son compte tweeter.

Le secteur de l’environnement en République démocratique du Congo a beaucoup des défis à relever quant aux lois ainsi qu’à la gestion durable des forêts. A cela s’ajoute l’épineuse question du changement climatique et de la biodiversité.

Le ministère de l’environnement est très vital car la gestion des données et de l’information relatives à l’environnement est un domaine qui mérite beaucoup d’attention et qui a commencé à être reconstruit qu’en 2006, après un long déclin commençant au milieu des années 70.

Par ailleurs, le ministère de l’environnement et du développement durale est responsable de toutes les données environnementales dans le pays.

Il convient de noter que malgré plusieurs dispositions légales, la République démocratique du Congo n’a jamais élaboré un rapport sur l’Etat de l’environnement national. Ce rapport est trop souvent butté à plusieurs difficultés telles que :
Le manque de volonté politique pour ce genre de travail ;
La collecte de données qui est difficile compte tenu de la superficie du pays et de la multitude des producteurs de données ;
La fiabilité de données étant donné que la plupart de celles qui existent sont à l’état brut ;
Le manque des équipements adéquats pour ce genre de travail.

Jean Claude Fundi

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