Dans son message de vœux aux élus nationaux et provinciaux ainsi qu’aux chefs des communautés de base et à la jeunesse, à l’occasion des festivités de fin d’année 2021 et de Nouvel an 2022, Professeur Faustin Boyemba émet le vœux de voir les communautés, dans leur diversité, vivre dans l’unité pour le bien-être de tous dans la province de la Tshopo.
Cet enseignant de l’université de Kisangani et acteur politique qui croit aux députés provinciaux pour l’émergence de la Tshopo, présente ses voeux les meilleurs ainsi qu’à leur suite.
« Honorables députés provinciaux à qui l’espoir de la population entière de la Tshopo repose, j’ai le plaisir de vous présenter mes voeux pour cette nouvelle année. Je souhaite très chaleureusement que 2022 vous apporte bonheur et succès, à vous tous, et à ceux qui vous sont chers », écrit le Professeur Faustin Boyemba.
A la jeunesse de la Tshopo, Faustin Boyemba rend hommages et la félicite pour sa bravoure et détermination de prendre en compte son avenir.
« En ce siècle dit de vitesse, notre province doit faire un choix, celui de rompre d’avec les années de tâtonnements, le triomphe de l’égoïsme et l’incompétence inconsciente. La place est désormais au travail et à l’innovation pour exploiter rationnellement les richesses du sol et du sous-sol Tshopolais pour le développement de la Tshopo et le bien-être de sa population », souligne le Professeur.
Convaincu du travail des députés et sénateurs de la Tshopo, Faustin Boyemba estime que ces derniers usent pleinement des compétences leur conférées par la Constitution pour plaider les causes de la province à tous les échelons. Par la même occasion, il salut le travail qu’ils ont abattu en 2021 et des vacances parlementaires très riches en informations.
S’agissant des différents problèmes qu’a connu la province de la Tshopo au cours de l’année qui s’achève, Professeur Faustin Boyemba demeure optimiste. Il pense que le temps est venu de se lever comme un seul homme afin de relever les défis et donner aux populations longtemps meurtris l’espoir d’un avenir radieux. A l’en croire, la responsabilité de l’émergence de la Tshopo incombe à tous.
En ce message de vœux, Professeur Faustin Boyemba n’exclut pas les communautés de base et salut leur engagement et la solidarité manifeste au travers les notables chefs des communautés de base qui ont fait montre en 2021.
« Que celui qui trouve utopique le rêve d’une Tshopo meilleure se considère tout simplement incompétent et se barre. De toutes les façons, le bulldozer de la révolution tshopolaise, une prise de conscience collective est en marche », souligne-t-il.
Cependant, il réitère son engagement et sa détermination à toujours oeuvrer pour la bonne cause au profit de populations de la province de la Tshopo.
Jean Claude Fundi