La taxe sur le registre des appareils mobiles devient un vrai problème de société pour les utilisateurs de téléphonie mobile en République Démocratique du Congo en général, et dans la ville de Kisangani en particulier.

Nombreux sont des consommateurs des produits produits cellulaires qui se compte par centaines devant les entreprises des téléphonies cellulaires pour des réclamations. Parmi eux, l’on compte des victimes de service RAM les empêchant ainsi toute facilité de communication et de recharge des forfaits.

Difficile de se procurer des forfaits à partir des systèmes des réseaux de télécommunication via le mobile money, pour la simple raison des frais se rapportant aux prélèvements du RAM. Plusieurs utilisateurs des réseaux mobiles à Kisangani dans la Province de la Tshopo se plaignent du fait de pouvoir perdre leurs forfaits rien qu’à l’achat.

Selon les témoignages recueillis par la rédaction de boyomainfo.com, la population boyomaise déplorent les pertes des crédits de communication sans réellement savoir la cause.
Plusieurs personnes sont victimes de cette taxe. Par ailleurs, ses derniers se disent ne pas être au courant de cette taxe imposée à tous les utilisateurs de téléphone.

L’enregistrement du RAM impose à chaque utilisateur de payer 1$ pour les téléphones ayant la connectivité de 2G et 1.7$ voire 7$ pour les marques des smartphones partant de 3G à 4G voir 5G.

L’autorité de l’état avait instauré cette taxe pour lutter contre la contrefaçon des téléphonies cellulaires afin de protéger les données des utilisateurs de ses appareils en cas de perte.

Emmanuel Kalamba

Laisser une réponse