La gestion orthodoxe des finances publiques n’est pas de l’apanage de tout gestionnaire de la chose publique. Y arriver, est un véritable parcours de combattant.

Trop souvent, les responsables des institutions publiques sont sujet des détournements et plusieurs autres anti valeurs mettant à genoux l’économie d’une entité.

Cependant, une personnalité de la province de la Tshopo a su faire la différence en cette matière. A l’époque encore Maire de la ville de Kisangani, Augustin Osumaka, candidat gouverneur de la province de la Tshopo pour l’élection du 29 avril avait donné un bel exemple de transparence dans la manière de gérer les finances publiques.

Pendant que plusieurs personnes murmuraient autour des recettes générées journalièrement au marché central de Kisangani le plus grand centre de négoce de la province de la Tshopo, Augustin Osumaka, à l’époque Maire de la ville de Kisangani, organisé trois journées portes ouvertes au dit marché.

Plusieurs organisations, en occurrence celles de la société civile, les journalistes, les mouvements citoyens ainsi que les curieux étaient invités à ces journées portes ouvertes au marché central de Kisangani pour se rendre compte de la gestion des fonds générés par ce centre de négoce.

L’idée était que ces organisations puissent d’eux-mêmes, palper du doigts les réalités réelles des recettes enregistrées par jour au marché central, les dépenses journalières ainsi que la destination finale du reste des recettes. Ceci, pour dissiper tout malentendu et les suspicions d’un quelconque détournement de deniers publics.

Un exemple à suivre et un modèle de gestion orthodoxe des finances publiques imprimés par Augustin Osumaka au niveau de la Maire de Kisangani.

Pendant qu’il se pointe comme candidat gouverneur de la Province de la Tshopo avec comme colistier un jeune ambitieux et intelligent, Guy-rami Lonia, la province de la Tshopo peut espérer voir ce modèle de gestion et de redevabilité envers les contribuables être répercuté au niveau de la province.

 

Rédaction

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