La clé de voûte pour sortir la Tshopo de sa torpeur reste sans nul doute; « le changement de mentalité tant des dirigeants que des dirigés pour espérer voir la Tshopo prendre l’élan de son décollage », estime entrepreneur Guy-Rami Lonia.

Le développement de la Tshopo réside dans le changement de mentalité de la population, des dirigeants et l’auto-prise en charge, précise-t-il dans sa tribune tenue à l’occasion de l’investiture des nouveaux locataires de l’hôtel du gouvernorat de la Tshopo ainsi que leur prise de fonction intervenue il y’a 24 heures à Kisangani.

« La clé de voûte, mieux l’élément déclencheur pour repartir sur des nouvelles bases du développement de la ma province de la Tshopo passe par le changement de mentalité tant de la population que des dirigeants en passant par l’auto-prise en charge.

En parlant du changement de mentalité, référence est faite à l’amélioration des besoins sociaux de base de la population ainsi qu’au quotidien de cette dernière.

Inspiré par la manière de vivre des autres ainsi que de leur façon de transformer leurs milieux de vie respectifs, tel que qu’il a vécu l’expérience en vivant à Bangalore pour raisons d’études, Guy-Rami Lonia s’est intéressé particulièrement à l’éveil de conscience de la jeunesse d’autres cieux et souhaite volontiers participer à cette exercice pour le bien de la jeunesse Tshopolaise.

Homme d’affaires, Guy-Rami reste très déterminé pour la concrétisation de son rêve en vue de secourir ses frères et sœurs de la Tshopo en général et de Kisangani e particulier.

Si vous ne vous intéressez pas de la politique, cette dernière va s’occuper de vous comme dit un adage. Ainsi, malgré la formation professionnelle de sa prédilection, Guy Rami ne cache pas sa passion de servir son pays, sa province et même sa ville la plus cosmopolite et hospitalière de Kisangani, partout où le devoir l’appellerait.

Natif de Kisangani, ce petit fils du notable Lonia Busubusu Katusi, haut fonctionnaire de l’état détient un diplôme de Master en business administration de la préstigieuse université de Bangalore en Inde, après avoir suivi une panoplie de formations en matière d’ingénierie, informatique et gestion de masse qui s’est soldée par des multiples brevets.

La suite de cette intéressante tribune dans le prochain numéro.

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