La Fondation Guy Ramy LONIA vient de renforcer les femmes commerçantes à faible revenu ce lundi 27 mai 2024 en remettant des enveloppes à une vingtaine de mamans qui exercent les activités commerciales avec des faibles capitaux pour subvenir aux besoins de leur famille et lutter ainsi contre la pauvreté. Ceci, dans le cadre du projet ELIKYA PESA MUNINGA SOURIRE qui entre dans sa troisième phase, après celle qui avait consisté à la formation sur l’éducation financière.
« La continuité du projet ELIKYA PESA MUNINGA SOURIRE reste une priorité absolue, je vous ai fait une promesse : celle de ne pas vous laisser et je m’y tiendrai. Mon engagement va bien au-delà des élections; il s’agit de lutter efficacement contre le chômage qui frappe notre communauté. Ensemble, nous travaillons sans relâche pour créer des opportunités d’emploi et améliorer la qualité de vie de chacun. Je suis déterminé à voir notre projet porter ses fruits et bâtir un avenir meilleur pour tous. Ceci, avec détermination et espoir », peut-on lire dans un tweet de l’initiateur de la dite Fondation.
Pierre Kalongo Mandela, coordonnateur de la Fondation Guy Ramy LONIA indique quant à lui que la sélection de ces mamans n’a pas été faite au hasard.A l’en croire, la Fondation a tenu compte de celles qui font les petits commerces tant devant leur maison qu’au marché et qui ont des faibles capitaux afin de les renforcer financière pour accroître effectivement leur revenu.
Pour sa part, Maître Éric LOSOSO ayant procédé à la phrase précédente de l’éducation financière de ces mamans, précise que cette formation était axés sur quatre phases à savoir : « la gestion financière, le budget, crédit, ainsi que la relation entre les clients et les banquiers et d’ajouter que la Fondation n’est pas une banque mais, la formation visait à apprendre à ces mamans comment gérer les petites sommes mises en leur disposition qui sont en fait le coup de pouce dans les activités qu’elles exercent déjà pour subvenir aux besoins de leur famille respective et lutter un tant soit peu à la pauvreté qui menace la province de la Tshopo ».
Notons que cette série de remise des enveloppes aux mamans s’effectue deux fois par semaine avec une équipe de 20 mamans, c’est-à-dire 40 mamans commenceront à bénéficier chaque semaine pour renforcer leurs activités.
SEMUL