Après avoir lamentablement échoué à tous les scrutins organisés tant direct qu’indirect de cette législature qui vient de commencer, l’ancien commissaire spécial de la province du Bas-Uélé craque et fait le chantage éhonté contre toute une province qui lui a pourtant tout donné.

Dans une sortie médiatique ratée faite à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo après son humiliation tant à Bondo où il n’a récolté que 198 voix aux législatives provinciales qu’à Buta où il s’était présenté comme candidat gouverneur sans programme de gouvernance devant les députés provinciaux, Anthony Yenga Atoloba, l’homme de zéro voix a raté une très belle occasion de se taire.

Ce candidat malheureux s’est permis de demander au chef de l’État d’annuler les élections sans contester au préalable l’élection écrasante du gouverneur Mike-David Mokeni Amisi devant les juridictions compétentes, celui-là même qui a été élu avec 17 voix sur les 18 députés provinciaux que compte la province du Bas-Uélé. Il insinue que ces élections seraient entachées d’irrégularités qu’il n’a pas démontré en plus.

Mike-David Mokeni Amisi a d’abord été élu député provincial dans le territoire de Buta avant qu’il ne soit élu gouverneur de province et, c’est sa deuxième tentative au gouvernorat de cette province qui lui a souri après 2022.

 

Pour rappel, dix candidats ont concouru pour cette course au gouvernorat du Bas-Uelé et seul Anthony Yenga Atoloba ayant honteusement obtenu zéro voix qui allègue les faits dont il est incapable de prouver. Toute honte bue, battue à plate couture, ce téméraire pense duper ses nombreux créanciers à qui, il avait tout promis sans tenir compte des réalités réelles du terrain.

Ce candidat malheureux, après son échec cuisant, a déclaré se retirer de la scène politique du Bas-Uélé où il n’a jamais été élu d’ailleurs.

Il est tout à fait normal qu’il considère son échec d’humiliation après le chantage qu’il ne cesse de faire aux ressortissants de ladite province.

Anthony Yenga Atoloba raconte à qui veut l’entendre qu’il aurait octroyé 68 000 matricules aux agents de l’administration publique de sa province, ceci sans être ministre de la fonction publique. Il n’y a que les esprits tordus qui peuvent croire à une telle folle imagination.

 

 

Rédaction

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